Alors que l’enquête sur ce qu’on appelle désormais « l’affaire Nabilla » se poursuit, le magazine Closer est allé à la rencontre d’une autre icône de la télé-réalité afin de connaitre son point de vue au sujet de cette affaire.
L’hebdo people a interrogé Loana au sujet des difficultés qui touche la jeune et ancienne candidate de la télé-réalité, aujourd’hui en détention provisoire. Alors que certains accusent la télé-réalité du drame qui touche l’ancienne candidate des « Anges », l’ex-lofteuse est quant à elle convaincue du contraire.
Loana a été révélée au public en 2001, lors de la première édition de Loft Story. A l’époque, ce type de programme est inédit à la télévision française, et la jeune femme blonde se trouve sous le feu des projecteurs du jour au lendemain, puisqu’elle gagne également le jeu.
Les deux jeunes femmes ont souvent été comparées, notamment parce qu’elles ont toutes les deux ont été rendues célèbres par leur physique, ont écrit un livre et ont lancé une collection de vêtements, mais pourtant Loana considère qu’elles n’ont pas le même profil.
L’ancienne candidate du Loft a indiqué que Nabilla n’a pas été victime de la télé-réalité, mais de son tempérament. Complètement lucide sur les aléas de la médiatisation et le comportement changeant des proches, parfois toxiques, Loana indique que la célébrité soudaine peut déstabiliser les personnalités les plus fragiles.
Loana compatit face à ce que vit Nabilla actuellement
« C’est une pression c’est vrai mais que l’on peut gérer si on le veut vraiment. Car les candidats font des émissions en espérant devenir célèbres et en sachant à peu près ce qu’elles pourront en tirer », a indiqué la jeune femme de 37 ans.
La blonde a également évoqué l’entourage affectif de ces stars d’un nouveau genre, et précisément de ses compagnons qui ne s’affichent que pour prendre également la lumière. Indiquant que l’amour rend aveugle, et qu’elle-même y a été confrontée, mais ne s’en est aperçue que trop tard, elle se sent proche de Nabilla sur ce point.
Enfin, Loana est pleine de compassion pour la jeune franco-suisse, actuellement en détention provisoire : « Son destin me fait plus peur que le mien. Je n’ai jamais vécu ce qu’elle vit ». Il est peu probable que cette analyse parvienne à la principale intéressée, dont le sort est entre les mains des juges jusqu’à nouvel ordre.