L’été approche à grands pas et on ne ressentira bientôt plus que l’envie de passer les journées en piscine à se barboter dans une eau bien fraîche. Mais face aux fortes intempéries hivernales, aux forts orages et aux pluies torrentielles, que faire de sa piscine hors-sol à l’extérieur ? Elle est certes facilement démontable, mais il n’est tout de même pas évident de la déplacer quand elle représente le soigneux décor de votre jardin. Il est dans ce cas possible de recourir à la bâche d’hivernage.
Les différents types de piscines hors-sol
Le premier type est la piscine basique que tout le monde a déjà achetée pour ses enfants. Le modèle gonflable est pratique, pas très coûteux et simplement démontable. Il existe en effet sous toutes les formes et surtout tous les formats : de la petite piscine gonflable pour enfants aux piscines de taille XXL, il y a de tout pour ravir tout le monde. Vraiment facile à monter, ou plutôt à gonfler, il suffit d’avoir à sa disposition une pompe à pied (au risque de vous essouffler dès les premières bouffées d’air) et c’est parti !
Deuxième type de piscine, très semblable à sa frangine gonflable, il s’agit de la piscine autoportante. Les deux présentent plusieurs similitudes. La différence réside en la technique d’installation un peu complexe de la piscine autoportante. Elle nécessite déjà une surface plane préalablement aménagée pour que celle-ci puisse tenir, ainsi qu’un matériel de mise en place, notamment une toile en PVC. Ce modèle dépasse aussi le premier en matière de rigidité, il se démontre plus résistant.
Ensuite, on propose la piscine hors-sol rigide. Ce modèle offre le choix d’être conçu avec un large choix de matériaux : résine, acier, bois, etc., sous forme de panneaux modulaires. En assemblant ces panneaux, la piscine se structure en bassin. Sa spécificité est qu’elle promet un résultat très esthétique qui irait parfaitement avec votre extérieur, en plus de sa forte résistance et de son étanchéité presque autant qu’une piscine creusée. Le modèle phare est sans doute la piscine en bois, ce matériau 100 % écologique reste indétrônable en construction.
Un dernier type intègre le modèle rigide : c’est la piscine hors-sol tubulaire. Son installation est tout aussi facile, mais se conçoit exclusivement avec des tubes en acier en guise d’armature, reliés à l’aide d’une toile en PVC. L’aspect visuel de sa structure n’est pas aussi gracieux, mais elle assure rigidité et facilité de montage.
Choisir une bâche d’hivernage adaptée à sa piscine hors-sol
La bâche d’hivernage est le moyen optimal en termes de simplicité et d’efficacité à envisager pour la protection de sa piscine hors-sol en dehors de la période d’utilisation.
Il faut tout d’abord distinguer entre hivernage actif et passif. Tandis que l’hivernage actif ralentit seulement le fonctionnement de la piscine de manière momentanée et est favorable aux régions à climat tempéré, l’hivernage passif met la piscine en arrêt total pendant l’hiver et est conseillé pour les régions à longues périodes de gel. Ceci dit, pour un hivernage passif, on suggère de couvrir le bassin avec une bâche à opacité et étanchéité élevées. Ce type est conçu avec un traitement contre les rayons UV de sorte à empêcher la photosynthèse. À l’inverse, la bâche filet est conseillée. Celle-ci est dotée d’une couverture filtrante idéale pour les régions à fortes précipitations, requérant un hivernage actif pour leurs piscines.
Outre cette distinction, on tient compte d’autres paramètres déterminant la bâche d’hivernage adaptée au type de piscine hors-sol :
- Les dimensions de la piscine ;
- Sa forme et son poids ;
- Le type de fixation des câbles de maintien selon la structure de la piscine.